Answer:
1. Le poème s'intitule "L'essentielle liberté" et a été écrit par André Gide.
2. a. Chaque strophe, à l'exception de la dernière, est construite sur l'anaphore "Je suis". Les groupes ainsi introduits sont des propositions subordonnées circonstancielles de manière qui précisent la manière d'être de la liberté.
b. Dans ce poème, le poète accorde une place centrale à la liberté dans sa vie et dans son monde. Il la présente comme une nécessité vitale et essentielle, tout en soulignant les contraintes et les obstacles qu'elle rencontre.
3. Le poète utilise des sonorités en "i" et en "é" dans le mot "liberté", créant ainsi une assonance. Cette figure de style est appelée assonance. Elle renforce l'importance du mot "liberté" en lui donnant une sonorité musicale qui attire l'attention du lecteur.
4. Le poète instaure une relation intime et affective avec la liberté en utilisant des termes tels que "je suis", "je vis", "je respire", "je suis à toi", etc. Ces termes montrent que la liberté est une partie intégrante de sa vie et qu'il est intimement lié à elle. En outre, le poète décrit la liberté comme étant "essentielle", ce qui renforce encore plus son importance.
5. a. Oui, on peut s'attendre à ce que le poème se termine par le mot "Liberté", car il est le titre du poème et le thème central de celui-ci.
b. Le mot "Liberté" est mis en valeur par sa position en fin de poème, mais aussi par le fait qu'il est écrit en majuscule, ce qui le met en évidence. Le poète insiste sur l'importance de la liberté en la présentant comme l'aboutissement du poème et en la mettant en valeur graphiquement.
Explanation:
Question a et b exercice 10
a. Voici le texte en respectant la composition d'un sonnet en alexandrins :
What is the poem about?Mon rêve familier
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Car elle me comprend, et mon cœur, transparent
Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.
Est-elle brune, blonde ou rousse? - Je l'ignore.
Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore
Comme ceux des aimés que la Vie exila.
Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
b. Les rimes du poème sont soulignées comme suit :
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Car elle me comprend, et mon cœur, transparent
Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème
Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,
Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.
Est-elle brune, blonde ou rousse? - Je l'ignore.
Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore
Comme ceux des aimés que la Vie exila.
Son regard est pareil au regard des statues,
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
On peut voir que les rimes sont embrassées, c'est-à-dire ABBA ABBA CCD EDE.
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Le lexique pour étudier
Observer la composition
d'un poème
mes
Voici le texte d'un poème de Paul Verlaine, non mis en forme.
Mon rêve familier
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant d'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse? - Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore comme ceux des aimés que la Vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a l'in- flexion des voix chères qui se sont tues.
D'après Paul Verlaine, << Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866.
a. En sachant qu'il s'agit à l'origine d'un sonnet écrit en alexandrins, recopiez-le en respectant la composition de ce genre de poème, sans oublier les majuscules en début
de vers.
b. Soulignez les rimes (une couleur par rime). Repérez les rimes plates, croisées, embrassées.
13 a. Lis ponctuat b. Repér ment, re
